Lecture d'aventures

Vivre pour se sentir vivant

N’est-ce pas ce que nous aspirons tous ? Vivre vraiment ? Le livre d’Albert Bosch « Vivre pour se sentir vivant » est un encouragement, un coup de pouce, pour concrétiser ses projets, car comme il le dit si bien : « Le pire des échecs consiste à renoncer à des objectifs importants à nos yeux sans avoir lutté pour les atteindre. » Albert Bosch à traversé l’Antarctique à pied, et c’est cette folle aventure qu’il raconte dans son livre.

Une lecture tellement inspirante, alors voici mes extraits préférés, bonne lecture.

« L’aventure peut être folle, mais l’aventurier doit toujours être sain d’esprit. » G.K. Chesterton

Demandons-nous toujours si ce que nous faisons aujourd’hui nous mène là où nous voulons vraiment être demain.

Ma phrase préférée !

– Si nous nous contentons de rêver sans agir, nous risquons de ne vivre qu’au conditionnel.

Pourquoi je veux ou j’ai besoin de faire telle ou telle chose ? En quoi est-ce important pour moi ? Quel impact cela aura-t-il sur ma vie ?

– Avec des motifs clairs, nous disposons de la force et de la confiance nécessaires pour nous battre.

« Ceux qui renoncent sont bien plus nombreux que ceux qui échouent. » Sénèque

A mesure que j’avance, je prends conscience des difficultés énormes qui m’attendent. Mais il semble qu’on finisse par s’adapter à tout, l’important étant d’avoir l’envie suffisantes pour aller de l’avant.

– Pour réussir à surmonter les obstacles qui se présentent, il faut avoir réfléchi aux raisons qui nous poussent à agir.

Quand on se retrouve seul au milieu de l’Antarctique et que l’on doute de ses capacités, ou quand on vit une situation complexe dans sa vie personnelle, professionnelle ou sportive, il ne sert à rien d’être obsédé par le but à atteindre.

Nous n’avons pas de prise sur les éléments extérieurs, mais nous pouvons faire un effort physique et mental pour assurer ce qui ne dépend que de notre volonté.

– Quand un objectif semble hors de portée, la meilleure solution consiste à cesser d’y penser et à rester centré sur le moment présent.

Les défis que je me lance ont pour paramètre de base de m’en tenir aux limites autorisées par ma condition physique.

– La crainte de l’échec fait renoncer à beaucoup de projets.

Je pense que tout le monde devrait s’imposer de se retrouver seul pendant un ou plusieurs jours, d’entreprendre un voyage en solitaire, loin de son espace familier, confortable et maîtrisé, ou de découvrir un lieu avec des personnes inconnues.

Nous reviendrons transformé d’un tel voyage, ayant amélioré notre relation avec nous même.

Autrement dit, ne négligeons jamais notre préparation physique.

Toujours penser que l’objectif final en vaut la peine et que le facteur temps est relatif par rapport au bilan global d’un projet.

Par contre, si l’on prend les choses du bon côté, tout ira bien et nous serons fiers de nous à l’arrivée, crois-moi.

Efforçons-nous de faire coïncider nos projets avec ce que nous voulons faire réellement et ce qui nous rend vraiment heureux.

Ce n’est pas la réussite qui nous mènera au bonheur, c’est le bonheur qui nous aidera à réussir.

Relever un défi exige de vouloir en parcourir toutes les étapes.

Tout objectif ambitieux traverse trois phases primordiales, depuis sa conception jusqu’à sa conclusion : 1) on rêve ou on l’imagine ; 2) on le pense et on le planifie ; 3) on l’exécute du début à la fin.

La vie, je le rappelle, est un grand projet composé d’une somme de projets intermédiaires.

Beaucoup de gens imaginent l’aventure comme quelque chose de dangereux ; mais celui qui court le plus de risques aujourd’hui, c’est celui qui attend que la vie le mène.

Qu’est-ce que j’attends de la vie ?

Si nous ne maîtrisons pas la durée de notre existence, nous pouvons décider de vivre intensément.

Je vous souhaite enfin de vivre intensément… pour vous sentir vivants.

Après cette lecture, je suis d’autant plus motivée à réaliser mon multi-rêve. Ne craignons pas l’échec et avançons pas après pas dans la réalisation de notre vie.

Quatrième de couverture

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